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Une poignée d’Allemands, n’ayant aucun lien familial, ont fait le choix radical de mettre toutes leurs ressources financières en commun. À rebours du modèle dominant, ils entendent ainsi s’assurer une stabilité financière, à une époque où les crises s’enchaînent et où le droit à une retraite digne semble menacé. L’hebdomadaire “Der Spiegel” est allé à leur rencontre...
Deux couples d’amis, la petite trentaine, qui se retrouvent dans une colocation du quartier de Neukölln, à Berlin… Jusque-là, rien d’anormal. Comme toutes les six semaines, Laura et Madru ont rendez-vous chez Jana et Luka – ils ne donneront que leur prénom, pour ne pas être reconnus de leurs clients et patients respectifs.
“On s’est décidés, pour le voyage aux Galápagos”, annonce Jana. La nouvelle ne suscite ni félicitations, ni interrogations, Laura et Madru se contentent d’acquiescer. Il faut dire qu’ils en savent déjà beaucoup sur ce périple en Amérique latine, qui durera trois mois au total. Notamment sur son coût. Car ils vont contribuer à son financement – même s’ils ne seront pas du voyage.
Les quatre amis partagent toutes leurs ressources et leurs dépenses. À chaque début de mois, ils virent leurs salaires sur un compte commun, qu’ils ponctionnent en fonction des besoins, indépendamment du montant apporté par chacun. Laura, Madru, Jana et Luka n’ont rien inventé, il s’agit d’un concept né dans les milieux de gauche, baptisé “gemeinsame Ökonomie” [“économie commune”], ou “GemÖk”.
Ces collectifs peuvent rassembler de deux à plus d’une dizaine de membres, qui, souvent, ne vivent pas ensemble. Contrairement aux communautés classiques, ils ne partagent pas leur quotidien, seulement leur argent.
Les pionniers des années 1990
Difficile de savoir exactement combien de jeunes se tournent vers ce modèle, en quête de sécurité financière – il n’existe pas de réseau structuré qui les regroupe. Mais au fil des dernières années, une dizaine au moins de collectifs dans ce genre sont apparus en Allemagne, d’après l’un des membres de la toute première GemÖk, la “Coopé financière”, créée au sein d’une colocation étudiante à Göttingen, à la fin des années 1990. Aujourd’hui encore, ses sept membres continuent à partager leurs ressources. En 2019, ils ont même publié un livre pour présenter leur concept.
Ce mode de fonctionnement radical offre en théorie une certaine sécurité financière grâce au soutien de la communauté, et un rapport différent, plus solidaire, à l’argent. Une stabilité qui a de quoi faire rêver, à l’heure où les crises se succèdent, et où la perspective d’une retraite correcte semble tout aussi improbable que celle de devenir propriétaire.
C’est grâce à un podcast consacré à la Coopé financière de Göttingen que Jana et Luka ont eu l’idée de mutualiser leurs revenus avec Laura et Madru, il y a deux ans. “On était curieux, se souvient Laura. On se demandait quel effet ça faisait de partager comme ça, si ça fonctionnait vraiment.” Peu de temps après, les quatre amis se sont réunis dans le parc de Tempelhof [à Berlin]. Chacun avait apporté une liste de ses ressources et dépenses, et ils ont “tout additionné”. Tout simplement. Ils ont ensuite ouvert un compte commun et, après une phase de test de six mois, ils ont décidé de poursuivre l’aventure.
Veto et “tour d’émotions”
Dès le début, ils savaient que leurs revenus finiraient par diverger de plus en plus. Laura et Jana travaillent dans le social, Madru est ergothérapeute, et Luka médecin, bientôt psychiatre. Puisqu’il n’a pas encore fini de payer ses études, chacun contribue à peu près à parts égales pour le moment, mais dans quelque temps Luka devrait gagner largement plus que le reste du groupe. Les GemÖk doivent évidemment résister à ce genre de disparités, mais c’est aussi et surtout leur raison d’être. À condition de savoir les gérer correctement.
Nos quatre amis ont beau souligner qu’ils ont “simplement mis en commun” leur argent, à l’essai, ils ont tout de même instauré quelques règles. Celle des 100 euros, notamment : tout achat d’un montant supérieur doit être approuvé par le groupe au préalable. Un droit de veto existe contre les achats jugés superflus – une nouvelle machine à café, une paire de chaussures supplémentaire –, mais il n’a encore jamais été utilisé. Les frais de santé, une visite chez le dentiste, par exemple, ne nécessitent jamais d’accord, contrairement aux projets de vacances comme le voyage aux Galápagos.
En deux ans, Laura, Jana, Madru et Luka ont mis quelque 15 000 euros de côté, et peuvent désormais vivre pendant plusieurs mois avec deux salaires en moins, comme pendant le futur périple de Jana et Luka. Sous réserve, bien sûr, que tout le monde soit d’accord. Ce genre de décisions se prend lors des “assemblées” organisées toutes les six semaines. Et ces réunions ne tournent pas seulement autour de l’argent. En général, les quatre amis commencent par un “tour d’émotions”, sorte de bilan durant lequel chacun partage son état d’esprit du moment, ses joies et ses peines.
Ensuite, seulement, ils parlent argent. Ce jour-là, à Neukölln, une fois le voyage de Jana et Luka approuvé – budget : environ 2 500 euros par mois –, Madru prend la parole. Il voudrait réduire son temps de travail, ce qui représenterait un manque à gagner de 300 euros par mois. “Ah oui, tant que ça ?” répond Jana.
Ces moments de crispation font partie intégrante du modèle économique. La gestion d’un budget collectif, plutôt qu’individuel, repose sur des arbitrages permanents : jusqu’où se faire plaisir, quand s’arrêter pour en laisser aux autres ? Les réponses sont rarement évidentes à trouver. Pour ce faire, les membres d’une GemÖk doivent échanger au quotidien sur leurs véritables besoins – et décider ensemble de ce qui est équitable ou non.
Nos quatre Berlinois semblent s’en sortir à merveille. C’est en tout cas ce qu’ils affirment, et ce que semble confirmer l’“assemblée” de ce jour-là. Les chiffres et les envies fusent, et pourtant, ils parviennent toujours à tomber d’accord. La taille restreinte de leur groupe et la proximité géographique sont des atouts, expliquent-ils. Il est d’autant plus facile, dans ces conditions, de garder un aperçu des dépenses et de se retrouver régulièrement pour discuter.
Tout repose sur la confiance
Tout n’est pas aussi simple dans la GemÖk de Robin. La jeune femme de 25 ans travaille également dans le social et vit à Berlin. Elle aussi souhaite conserver en partie l’anonymat, car elle participe régulièrement à des occupations avec des associations de défense de l’environnement. Les six autres membres de son groupe sont éparpillés dans toute l’Allemagne, de Berlin à la Ruhr, en passant par la Hesse et la Basse-Saxe. Ils se sont rencontrés dans la forêt de Dannenrod [à une centaine de kilomètres au nord de Francfort], occupée par des activistes en octobre 2019 pour protester contre sa destruction partielle dans le cadre d’un chantier autoroutier.
Compte tenu de leur éloignement géographique, les sept membres du groupe, répartis dans quatre Länder différents, ont dû imaginer un système de partage adapté à la distance. Dès le début, ils ont décidé que chacun garderait son propre compte bancaire, et que la GemÖk fonctionnerait grâce à un outil numérique. Robin nous montre le site Internet programmé par le groupe pour l’occasion, une sorte de logiciel comptable où sont listés les différents postes budgétaires. Chacun renseigne le montant de ses revenus et de ses dépenses, et la somme totale est répartie automatiquement entre les différentes enveloppes. Près de 90 % des ressources sont consacrées aux dépenses quotidiennes, 2,5 % sont mis de côté chaque mois pour les voyages.
La nature des dépenses varie fortement d’une personne à l’autre. Grâce au soutien de sa GemÖk, Robin a pu terminer ses études sans avoir à travailler en parallèle. Un autre membre du groupe a pu entamer une thérapie, un troisième se payer un ordinateur à 1 000 euros. Mais outre l’argent, leur communauté repose sur une deuxième ressource indispensable : la confiance. Rien d’autre ne leur garantit qu’aucun d’entre eux ne ment sur ses revenus ou ne disparaîtra un jour avec la caisse. Car ils n’ont pas signé de contrat, rappelle Robin. Mais la GemÖk a renforcé leurs liens :
“Nous ne sommes pas de la même famille, mais plus que de simples amis. On ne partage pas de relations amoureuses non plus. On forme un groupe.”
Ces liens permettent aussi de surmonter les tensions inhérentes aux questions d’argent. Les membres de la GemÖk débattent souvent de leurs habitudes de consommation respectives, sans se sentir bridés pour autant, d’après Robin. Ces échanges collectifs lui ont notamment fait comprendre que l’achat d’un billet d’avion pouvait aussi se justifier, dans certains cas.
La jeune femme vit modestement, et la chambre où elle loge au sein d’une colocation en atteste. La pièce ne doit pas faire plus de 9 m2. La majeure partie de l’espace est occupée par le lit, au-dessus duquel sont accrochées quelques photos des membres de sa GemÖk, dans la prairie suisse où ils se sont réunis une fois pour discuter de leurs finances. Sur le mur d’en face trônent deux guitares. Robin compose ses propres morceaux, l’été dernier elle a joué dans les cafés, les centres culturels, les appartements et les rassemblements écologistes. Une tournée de deux mois qui aurait été impossible sans le soutien de sa communauté.
“Un sentiment de sécurité”
Cette liberté est l’une des raisons d’être de leur GemÖk, explique-t-elle. La solidarité financière qui les unit permet à chacun d’entreprendre des activités qui lui tiennent à cœur sans avoir à s’inquiéter en permanence de ses revenus. “Ça peut être un travail rémunéré, une activité militante ou une pause de six mois pour préparer une reconversion.” Cet esprit d’entraide a toutefois ses limites. L’un des membres du groupe vient justement de faire défection. Il avait proposé de mettre de l’argent de côté pour acheter collectivement une ferme dans quelque temps, et l’idée n’a pas plu à tout le monde.
Les discussions de fond comme celles qui ont animé la GemÖk de Robin ces derniers temps sont indispensables pour établir les possibilités offertes par le modèle, mais aussi ses limites. Car ces groupements ne sont généralement pas à durée déterminée. “En principe, nous nous organisons ensemble pour toujours”, explique Luka. L’exemple de Göttingen a montré que les GemÖk pouvaient survivre à des évolutions fondamentales comme la perte de revenus ou l’arrivée d’un enfant. Mais même après trente ans, les membres de la Coopé financière cherchent toujours une vraie solution pour affronter leurs vieux jours.
Du reste, le partage des ressources n’est pas la seule motivation qui a poussé Robin, nos quatre amis berlinois, et les autres à rejoindre une GemÖk. Outre la stabilité financière, ce mode de vie procure un sentiment de sécurité au moins aussi important, expliquent ses adeptes. “Le plus important à mes yeux, c’est de savoir que ce groupe sera toujours là pour moi”, confie Robin. Au bout du compte, ce sont les expériences partagées depuis la mise en commun de leurs ressources qui soudent véritablement le groupe, abonde Luka. Il se remémore souvent leur première soirée en tant que GemÖk, après le rendez-vous au parc de Tempelhof. “C’était un super moment, retirer pour la première fois 200 euros du compte commun et aller faire la fête ensemble.”
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http://www.avenir-sans-petrole.org/2016/11/saisir-l-opportunite-du-declin.html
Nous, auteurs de cet essai, fils des 30 glorieuses, serons parents au moment du « Peak everything[1] » et vraisemblablement grand-parents quand l'abondance énergétique sera derrière nous. Notre génération aura connu la frénésie2 de l'ascension du pic, les doutes et incertitudes des cimes puis la désillusion de sa descente. Cette dernière prendra-t-elle la forme d'une décomposition lente, d'un effondrement où d'une gestion raisonnable des pénuries ? Au moment où ces lignes sont écrites, il est encore difficile de se prononcer, bien que la troisième voie se trouve très compromise. Nous n'abandonnons cependant pas tout espoir quant à sa survenue et entendons y apporter notre contribution...
Faute de bien se servir de couverts, des résidents de l’Ehpad Creusot souffraient de carences alimentaires. Grâce au projet “Manger mains”, ils retrouvent plaisir à manger.
Le projet “Manger mains”, mis en place au sein de l’Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) Creusot depuis septembre, s’adresse à 17 résidents. Ils souffrent de la maladie d’Alzheimer ou de troubles de la préhension ne leur permettant plus d’utiliser des couverts.
Ces personnes mangeant avec leurs doigts souffraient d’un manque d’apports caloriques faute d’une nourriture adaptée à leurs problèmes. Sous l’impulsion de la diététicienne de l’Ehpad, Célia Cossin, et avec la participation de l’équipe de restauration dirigée par Sylvain Guillaume, l’idée de proposer des repas adaptés au “manger mains”, avec des plats froids ou chauds pouvant facilement se déguster sans couvert s’est concrétisée dans le cadre du projet d’établissement et au sein du Comité de liaison alimentation nutrition.
Après information des familles et du personnel, des fiches d’évaluation, codifiées par Célia Cossin, ont permis de lister les résidents pouvant bénéficier de ces nouveaux menus. Le 21 mars, un repas à thème proposait à tous les résidents et au personnel des quatre résidences un menu “manger mains” afin de sensibiliser chacun à cette expérience innovante. Le 23 septembre, en lien avec la 23e Journée mondiale Alzheimer, le projet démarrait vraiment pour les 17 personnes concernées, une initiative pour l’instant unique dans la Communauté urbaine.
Les premiers retours sont très positifs et les 17 résidents bénéficiant de ces menus ont un meilleur appétit et sont bien plus autonomes.
Jean-Pierre Coulez (CLP)
Le concept de cette activité est de concevoir, fabriquer et améliorer des outils/équipements agricoles. Cela permet d’innover et de créer de nouvelles techniques culturales, de réduire la pénibilité du travail, de s’adapter aux normes environnementales et au fonctionnement spécifique des Fermes ou d’ateliers de transformation.
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De récentes découvertes sur l'ADN du pois d'Angole pourrait faire de cette plante un véritable remède face à la crise alimentaire qui frappe les pays du Sud.
L'Institut de Recherche International sur les Cultures des Tropiques Semi-Arides (ICRISAT) et ses partenaires viennent de compléter la cartographie du génome du pois d'Angole, une légumineuse multi usage résistante à la sécheresse, et dont la valeur nutritive pourrait résoudre une partie de l'insécurité alimentaire dans les régions arides d'Afrique et d'Asie. Cette "première" scientifique -le pois d’Angole est la première culture vivrière à voir son ADN décodé- révèle l’intérêt de la biologie moléculaire dans la recherche agronomique, et pourrait changer la vie de millions de paysans au Sud.
Jérôme Bossuet, spécialiste en développement rural et chargé de communication pour l’ICRISAT, revient sur l’intérêt d’une telle avancée scientifique.
La "viande du pauvre"
Le pois d’Angole, encore nommé pois cajan, est une légumineuse (comme le soja ou le haricot) importante pour plusieurs millions de petits cultivateurs en Asie, Afrique et Amérique Latine. Il contient plus de 20% de protéines -d’où son surnom de "viande du pauvre"- et peut ainsi jouer un rôle crucial dans les pays frappés par la faim et la malnutrition. Ce pois a l’avantage de pousser même quand l’eau est rare, n’a besoin que d’un minimum d’intrants, et peut survivre dans des sols pauvres tout en produisant du grain riche en protéines. Il reste principalement cultivé pour l’autoconsommation, sur un peu plus de cinq millions d’hectares, soit le quart des surfaces utilisées pour le maïs. Les paysans Indiens sont à l’origine de 75% de la production mondiale, dans des fermes de moins de deux hectares.
Ce qui rend le pois cajan vraiment unique est sa capacité à bien pousser dans des environnements très hostiles. Sa haute tolérance à la sécheresse en fait une plante précieuse. Dans les régions affectées par des précipitations très variables, c’est souvent la seule culture qui arrive à produire pendant les épisodes de sécheresse, quand d’autres cultures, comme le maïs, ne résistent pas. Nous en voyons la démonstration en ce moment dans la Corne de l’Afrique.
Une plante pleine de ressources
C’est aussi une plante légumineuse multi usage. En plus de sa valeur nutritive pour la population, ses feuilles et ses branches en gousses riches en protéines et vitamines A et B constituent un excellent fourrage pour les animaux. Les tiges ligneuses de cette plante sont utilisées comme bois de chauffe pour les foyers de cuisson traditionnels, pour tisser des paniers, construire des barrières ou comme matériel de construction.
Des paysans en Chine cultivent le pois cajan sur des terres occultes en pente pour soutenir des efforts de reforestation et lutter contre l’érosion du sol, produisant jusqu’à six tonnes de bois de chauffe par hectare. Le pois cajan est aussi utilisé comme support de culture des insectes produisant la laque naturelle, qui est vendue comme teinture naturelle, en cosmétique ou comme médicament. Les feuilles de pois cajan sont par exemple utilisées en médecine traditionnelle.
Le pois sous-exploité
En dépit de la valeur immense que peut représenter le pois d’Angole pour la sécurité alimentaire de vastes régions du monde, cette plante a été jusqu’ici négligée par la recherche agronomique, et bien moins développée que le maïs ou le soja. Les rendements sont actuellement très faibles, avec une moyenne de 866 kg par hectare en Inde et de 736 kg par hectare en Afrique, alors qu’on pourrait produire jusqu’à 2.500 kg par hectare dans des conditions optimales. Pour s’assurer de meilleures récoltes, les paysans n’ont pas à disposition beaucoup de variétés améliorées, c’est-à-dire à haut rendement et résistantes aux principales maladies. La perte de plus de la moitié de la récolte de pois d’Angole à cause du flétrissement fusarien, par exemple, est chose commune en Afrique de l’Est.
Le génome décrypté
L'Institut de Recherche International sur les Cultures des Tropiques Semi-Arides et ses partenaires viennent cependant de compléter la cartographie du génome du pois d'Angole (article paru dans Nature). Cette découverte scientifique va permettre d’augmenter de manière importante les rendements de cette plante vivrière dans les prochaines années
Chaque être vivant a un génome, un "manuel d’instruction" chimique qui décrit comment tous ses gènes sont assemblés, de manière à former un long code d’ADN. Chaque gène contrôle différentes caractéristiques de la façon dont l’organisme grandit et se développe. Des différences infimes dans ces instructions font émerger des individus avec de nouvelles qualités (ou défauts).
Grâce au génome du pois d’Angole, on pourra par exemple rechercher les variétés qui produisent beaucoup tout en étant résistantes au flétrissement fusarien ou aux autres maladies dévastatrices.
La perspective d’améliorer la sécurité alimentaire mondiale
C’est la première fois qu’une plante non industrielle, et importante pour l’agriculture vivrière d’Asie et d’Afrique sub-saharienne bénéficie des progrès de la biologie moléculaire. Cette découverte scientifique va permettre de produire des variétés plus résistantes et aux meilleurs rendements dans les années à venir, ce qui permettra d’améliorer la sécurité alimentaire de nombreux petits cultivateurs des pays du Sud, notamment dans les zones arides et semi-arides.
Mais pour que cette carte du génome du pois d’Angole bénéficie pleinement aux paysans du Sud, il faudra que les variétés améliorées produites soient abordables et accessibles. Un enjeu de développement qui nécessite un partenariat public – privé pour disséminer les innovations auprès de ces petits paysans.
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C'est une tradition française très ancienne que Dominique Léandre-Chevalier a remise au goût du jour: ce viticulteur rebelle laboure au cheval ses vignes du Bordelais, dans le sud-ouest de la France, une pratique qui a désormais plusieurs centaines d'adeptes dans le pays.
A 53 ans, il porte haut le flambeau de ses aïeux qui ont créé le Domaine Léandre-Chevalier (DLC) en 1895 et lui ont transmis le savoir-faire de leur activité de pépiniériste et de charretier.
Le labour au cheval remonte au XVIe siècle, mais avec les progrès techniques de l'exploitation viticole, la pratique avait pratiquement disparu.
Quand en 1985 Dominique Léandre-Chevalier reprend le domaine de son père mort dans un accident du travail au chai, le vigneron décide de changer la donne: rebuté par "la mécanisation introduite dans la vigne", il veut "revenir à un travail de vigneron artisanal" et se "réapproprier le savoir-faire de ses ancêtres", explique-t-il à l'AFP.
Sa première décision est de diviser par quatre la superficie du domaine familial, qui passe ainsi de douze à trois hectares.
A Anglade, près de l'estuaire de la Gironde, non loin des prestigieux châteaux du Médoc, le vigneron réintroduit le labour au cheval de trait, à l'ancienne, sur sept parcelles avec huit terroirs différents.
Aujourd'hui, il cultive certes moins de surface que ne le faisait son père, mais ses vignes comptent jusqu'à plus de 33.000 pieds à l'hectare, une densité triple de celle de beaucoup de grands crus.
"Le cheval est le meilleur allié pour le travail des sols", aime-t-il dire.
Face au poids des tracteurs, le labour au cheval présente l'avantage de beaucoup moins comprimer la terre - qu'il s'agit de désherber et d'aérer - et de permettre une meilleure irrigation par l'eau de pluie. La terre devient plus meuble, et les ceps, plus vigoureux.
- Des grands crus s'y sont mis -
Dominique Léandre-Chevalier affirme chercher "à accompagner avec grand respect les cycles de la nature".
Car "le vin c'est comme la cuisine, ce qui compte avant tout c'est le produit brut: la terre, la vigne et le raisin". "Le caractère d'un vin se fait à la vigne, et non au chai", dit-il.
Ses chevaux de trait labourent jusque sur une parcelle de l'île de Patiras, au milieu de l'estuaire de la Gironde, entre Blaye et Pauillac. Ils sont amenés chaque fois sur une barge.
Dominique Léandre-Chevalier est un pionnier qui se tient loin des tendances et des modes. Mais depuis une dizaine d'années, quelques centaines de vignerons français ont redécouvert eux aussi le labour au cheval et le pratiquent sur tout ou partie de leur domaine, dans le Bordelais et jusqu'en Bourgogne notamment.
Plusieurs grands crus s'y sont mis, dont le chateau Latour à Pauillac qui réalise ainsi une partie non négligeable de sa production.
"C'est une tendance forte" depuis dix ans, confirme l'oenologue Gilles De Revel, de l'Institut des Sciences de la Vigne et du Vin, à Bordeaux.
Et "Dominique Léandre-Chevalier a vraiment été un pionnier", souligne-t-il.
Le vigneron, lui, souligne que ce retour au travail ancestral du labour au cheval n'empêche pas d'avoir recours à la technologie moderne car, dit-il, "le cheval et la technologie sont la symbiose entre une viticulture innovatrice et le respect de la nature".
Ainsi, pour passer dans les vignes, il utilise un engin léger, avec peu de puissance, donc peu d'émission de CO2, qui enjambe deux rangs de ceps. L'objectif est de "limiter les passages répétitifs et de diminuer la compression du sol par le poids afin de mieux respecter la vie du sous-sol".
- Vigne en cercle -
En revanche, le travail de la taille de la vigne, de l'attache au jonc, du sarclage à la houe, des vendanges et du tri manuels des raisins "restent l'apanage des femmes et des hommes qui travaillent toute l'année dans les vignes", souligne Dominique Léandre-Chevalier.
Le jardinier-vigneron a replanté des vignes allant d'une densité de 3.500 pieds à l'hectare jusqu'à 33.333 pieds. "C'est ce qui se faisait dans les siècles passés, avec peu de grappes sur chaque souche - de deux à trois - afin d'économiser l'énergie du cep".
Autre innovation, la plantation d'une vigne en cercle, avec un cépage petit verdot préphylloxérique, donc du XIXe siècle, en francs de pieds (ceps originaux), vignifié avec la méthode ancienne du provignage (ndlr: pour multiplier la vigne, on couche en terre un cep entier ou un sarment afin de remplacer une souche manquante), les pieds de cep étant déplacés chaque année.
A rebours de la tendance à l'uniformisation du goût des vins de Bordeaux, notamment sous l'influence du dégustateur américain Robert Parker, Dominique Léandre-Chevalier aspire "à faire des vins de caractère" et sa "philosophie du vin s'inspire plutôt du Bourgogne que du Bordeaux".
A raison de 66.000 bouteilles par an, ses vins - rouge, blanc, rosé - se trouvent à la carte de grands restaurants parisiens et de cavistes réputés, y compris en Asie, aux Etats-Unis, en Allemagne ou en Suisse.
Source: Afp
Nous sommes tous des réservoirs d’or liquide. Telle est la théorie de Renaud de Looze, ingénieur belge devenu désormais pépiniériste en Isère qui tient à réhabiliter l’urine comme engrais naturel dans nos jardins. Etonnant mais férocement naturel.
L’agriculteur lambda n’a pas le droit d’utiliser l’urine humaine comme fertilisateur. Le particulier, le jardinier du dimanche, si. Et on l’aura compris, c’est une méthode que Renaud de Looze recommande particulièrement et expérimente à son profit depuis des années. Avec succès.
Dans ce petit guide très précis et pratique, bien illustré, aussi bien par des photos que par des croquis délicats du dessinateur Avoine, l’ingénieur belge signe mine de rien le premier plaidoyer en faveur de l’usage de l’urine –le pipi donc – au jardin. Une méthode qui a priori peut rebuter mais qui une fois l’ouvrage parcouru puis refermé paraît logique. Le bineur du dimanche a toujours su que pisser sur ses salades était bénéfique à sa production, mais il saura enfin pourquoi. Question d’azote, de dosage, de nutriments. L’apport de l’urine n’est pas un remède miracle face à un sol pauvre mais l’utiliser avec méthode et avec du compost peut générer de belles surprises. Peu de monde s’intéresse aujourd’hui aux bienfaits de ce liquide humain : seules les villes d’Amsterdam et Durban testent des urinoirs publics expérimentaux en vue d’engrais
« Ressource gratuite, riche en sels minéraux propices à la culture des végétaux », l’urine contient aussi « du phosphore, du calcium, du potassium, du magnésium, du soufre ». Bref, sur une année, « 6 à 7 kg de minéraux qui ont transité dans notre corps sont équivalents à 30 kg d’un bon engrais bio complet ». Foin des idées reçues, il est temps pour l’ingénieur belge de réhabiliter cet engrais critiqué et oublié « Certains disent que l’urine pollue. Si l’urine est correctement dosée, tout ira aux plantes sans perturber les organismes du sol , aucun nitrate, ni phosphate n’ira dans les cours d’eau ».
Voilà des années que l’auteur du guide rêve de potagers en circuit fermé et autosuffisants, où le maximum de déchets recyclables viennent enrichir cultures et sols par leurs apports divers. Au fil de ses pérégrinations et essais, l’homme a testé les excréments de poissons en Californie, la lombriculture en Nouvelle-Zélande. Rien ne s’improvise. Tout se recycle, se transforme, se mesure. Sa pépinière iséroise satisfait à 90% ses besoins en eau grâce à un système de récupération et d’irrigation par les eaux de pluie typiquement belge. Les solutions préconisées dans le guide ont été testées et vérifiées à petite échelle par l’auteur au fil des années.
Toutefois, l’auteur reste réaliste : « l’idée de l’utilisation de l’or liquide (urine) et l’or noir (compost) est une initiative citoyenne applicable au niveau individuel uniquement. L reste encore du chemin à faire pour que cette pratique soit adoptée par la communauté des usagers, que la recherche confirme ses avantages et que les obstacles règlementaires soient levés ». En attendant, si le cœur vous en dit, rien ne vous empêche de tester la méthode de Renaud de Looze sur votre lopin de terre. Elle a fait ses preuves.
Florence Genestier
« L’urine, de l’or liquide au jardin » par Renaud de Looze, la collection Jardiner nature, éditions de Terran, guide pratique pour produire ses fruits et légumes en utilisant les urines et composts locaux. 12 €.
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