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mini maison, appartement-ruche, capsules..

Publié le par ottolilienthal

Ces lits capsules qui permettront d’enfin bien dormir en avion

Dormir dans l'avion lorsqu'on a réservé en classe économique peut s'avérer très souvent un cauchemar. Mal aux jambes, au cou, au dos... Alors pour le confort de ses passagers, la compagnie aérienne Air New Zealand s'est penchée pendant trois ans sur la question. Résultat : le 26 février, la compagnie néo-zélandaise a déposé un brevet pour des lits capsules destinés à sa classe éco, rapporte CNN Travel.

 

Cette capsule de sommeil baptisée "Skynest" a été testée par 200 clients de la compagnie dans un hangar à Auckland. Elle est composée de six modules de couchage allongés à plat. Chaque lit mesure environ deux mètres de long sur 58 centimètres de large. Pour chaque couchage seront fournis un oreiller, des draps, une couverture, des bouchons d'oreille et des rideaux de confidentialité. Des lampes de lecture et des prises USB seraient également à l'étude.

Six couchages par appareil

Si pour l'heure il ne s'agit que d'un brevet déposé par la compagnie aérienne, "Skynest" pourrait bien voir le jour. D'autant que la compagnie néo-zélandaise n'en est pas à son coup d'essai. Comme le rappelle CNN, en 2011, elle avait lancé la "Economy Skycouch" permettant aux passagers voyageant ensemble de transformer leurs sièges en lit. Pour l'heure aucune certification formelle n'a été émise "cependant nous avons conçu le concept pour répondre à toutes les exigences réglementaires", souligne le personnel d'Air New Zealand a déclaré à CNN Travel.

 

Concernant le prix des billets pour ces lits capsules, rien n'a encore été déterminé, mais les tarifs seront certainement plus élevés que pour un siège classique en classe économique, d'autant que seuls six couchages seront disponibles dans chaque appareil. "Nous voyons une future expérience de vol où un client en classe économique sur des vols long-courriers pourrait réserver l'Economy Skynest en plus de son siège Economy, prendre un repos de qualité et arriver à destination prêt à partir", explique Nikki Goodman, directeur général de l'expérience client d'Air New Zealand, relayé par CNN. L a compagnie aérienne devrait prendre une décision définitive concernant le "Skynest" en 2021.

 

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2m² pour vivre à Hongkong

(mise à jour : )

Alors que les vacances nous poussent au grand large, voici qu'à Hongkong, certains habitants sont heureux de louer deux précieux mètres carrés pour une nuit ou, parfois, plus longtemps.

La pénurie d’espace ne serait-elle pas une notion aussi culturelle ? On savait que les Japonais ont choisi, dans leur histoire, la promiscuité (l’entassement, dit-on péjorativement) dans les plaines plutôt que l’occupation des montagnes. On se doutait que les Hollandais qui ont chèrement conquis leur territoire sur la mer, poussés dehors par les soldats du Saint-Empire et les Français qui les harcelaient, aiment leurs polders et la vie à 400 hab/km², soit quatre fois plus qu’en France. On imagine que la plupart des Parisiens s’accommodent des conditions difficiles d’existence dans une ville bruyante, sale, polluée, mais équipée de cafés, théâtres, salles de concerts, boites de nuit, restaurants et échoppes pour toutes les fantaisies, écoles petites et grandes, système de soins à nul autre pareil avec une densité de 21 067 hab/km².

A Hongkong, l’une des villes les plus saturées du monde, un entrepreneur offre de l’espace à louer 335 euros par mois, sous forme de capsule spatiale, sans fenêtre mais avec wifi, un lit, un écran TV et l’air conditionné. Cuisine et salle de bains sont communes. A Tokyo, ces capsules existaient dans les gares où les noctambules ayant raté le dernier train pouvaient trouver de quoi dormir. Ici à Hongkong, ce sont des clients aux journées si longues qu’ils ne veulent pas rentrer tous les soirs, ou clients lorsqu’une mésentente conjugale impose un peu de distance.

C’est au nom du confort que l’entrepreneur Sandy Wong a conçu ses space capsules. Parce que les cloisons à Hongkong sont mal isolées, les appartements mal ventilés, mal odorants, les matériaux peu ignifuges, Wong conçoit des hôtels où chacun a son espace à soi. «Pas besoin d’une yourte», se défend Wong. Pourtant, les habitués occidentaux des foules asiatiques savent leur goût pour l’irruption, les conversations sonores, les micro-événements.

Justement. Les foules sont insupportables à bien des êtres humains. Même si nous avons besoin d’être dépannés, dormir sur un banc, une plage ou dans une capsule, 2 m² ne représentent pas l’espace vital humain. Les murs reculent grâce au wifi mais il n’empêche : notre enveloppe corporelle est gourmande en espace. Et notre enveloppe sociale encore plus. Même les moines bouddhistes ou occidentaux qui vivent, volontairement, reclus dans quelques mètres carrés ont des espaces communs. Il faut de grandes âmes comme Soljénitsyne ou, plus près de nous, Jean-Paul Kauffmann otage au Liban pendant plus de mille jours de captivité, pour surmonter la privation d’espace. «La liberté est intérieure» pensent les bouddhistes.

Sur TripAdvisor, les visiteurs d’un soir dans un hôtel de ce type au Vietnam racontent leur expérience. Mérite-t-elle d’être vécue ? Dans les commentaires, certains aiment les côté «frigo de morgue» des films hollywoodiens. D’autres, le répit qu’ils ont pu tirer de leur vie surmenée. Mais peut-on aller plus loin ?

Au fait : pourquoi la photo de la planète Terre au fond de la cabine ?

Kaiteki Hotel, Saigon (Vietnam)

Les "tiny houses", des mini-maisons écolo pour une maxi-liberté

Elles mesurent une vingtaine de mètres carrés et peuvent être tractées. Après l'Amérique, les "tiny houses" débarquent en France.

 

Un poêle minuscule dans l'entrée, un coin cuisine-salle à manger surmonté d'un lit-mezzanine, une douche, des toilettes sèches et la photo de sa fille: chez Muriel, qui vit dans l'une des premières "tiny houses" (mini-maison) en France, l'essentiel tient sur 16m².

Nées dans les années 2000 aux Etats-Unis, après le passage de l'ouragan Katrina et la crise des subprimes qui ont nécessité des logements d'urgence, ces maisons miniatures en bois, montées sur remorque, ont déjà séduit plusieurs milliers d'Américains. Le concept a rallié des partisans de la décroissance et de la transition écologique, et émerge timidement dans l'Hexagone, où l'on compte au moins une trentaine de ces habitats alternatifs, selon plusieurs constructeurs.

"Ma maison tient dans une chambre!", s'amuse Marielle, qui s'est installée dans le jardin d'un ami, en Bretagne. Ravie d'échapper aux corvées d'aspirateur, la septuagénaire - qui admet la nécessité d'être ordonnée pour habiter une "tiny house" - se félicite de faire "des économies de choses et d'argent, tout en vivant correctement".

"C'est minimalisé mais ça fonctionne", assure le charpentier Bruno Thiery, cofondateur de la société "La tiny house", pionnière en France pour leur fabrication. Depuis sa création, début 2015, quelque 23 mini-maisons de 18 à 25m² - vendues de 25.000 à 40.000 euros - sont sorties de son atelier de Poilley (Manche), près du Mont Saint-Michel, essentiellement des résidences principales. Le carnet de commandes est plein jusqu'en avril prochain.

Plus spacieuses qu'une roulotte, plus durables qu'une caravane - qui résiste mal aux intempéries-, les maisons miniatures, limitées à un poids de 3,5 tonnes pour pouvoir être tractées, sont conçues "comme une véritable maison à ossature bois, avec une isolation épaisse assurant un bon confort intérieur", explique Bruno Thiery.

Et nul besoin de "s'endetter sur 20 à 30 ans pour devenir propriétaire", souligne Laëtitia Dupé, une jeune designer qui a quitté son studio parisien pour autoconstruire sa mini-résidence, baptisée "Baluchon", à Château-Thébaud, près de Nantes. "C'est une solution d'habitat très économique puisqu'elle consomme très peu d'énergie, et très écologique car on est dans l'objectif de consommer moins d'objets, tout simplement parce qu'ils ne rentrent pas", explique-t-elle.

Une sobriété volontaire qui engendre un sentiment de "soulagement", selon Stéphane Boléat, un charpentier de 28 ans qui a construit à Landeleau (Finistère) une "ty-rodoù" bioclimatique ("maison sur roues" en breton), où il vit avec sa compagne.

"Se délester de tous ces objets, ça redonne une liberté et pour rien au monde je ne repartirai avec tout ce que j'avais dans un appartement classique", raconte le jeune homme qui a, comme Laëtitia Dupé, lancé une société de construction de "tiny houses".

Ce choix d'habitat atteint toutefois ses limites quand la famille s'agrandit et pâtit du flou sur le cadre légal qui, à ce stade, ne le reconnaît pas. Ne nécessitant pas de permis de construire, elles peuvent rester trois mois sur un terrain mais le propriétaire doit ensuite demander une autorisation de stationnement à la mairie.

Outre la résidence principale, les applications des "tiny houses", selon les constructeurs, sont nombreuses: commerces ambulants, gîtes, espaces scéniques, logements d'urgence... "Elles répondent vraiment à cette demande de transition dans nos modes de vie, dans nos modes de consommer, dans nos mobilités professionnelles, parce qu'aujourd'hui les jeunes travailleurs se déplacent énormément", estime Stéphane Boléat, qui se prépare à chercher un nouveau terrain pour sa petite demeure en prévision de la mutation de sa compagne.

En revanche, selon le sociologue de l'habitat Guy Tapie, elles s'adressent "à un segment de population très particulier et très limité", dans un contexte où la tendance reste à l'augmentation des surfaces des maisons individuelles, "passées de 100 m² il y a 20 ans à 115-120 m² actuellement".

Le temps des claustrophiles

 

Aux Etats-Unis, M. Jay Shafer a connu la célébrité en 2007 quand l’émission télévisée d’Oprah Winfrey a popularisé son concept de tiny house (« maisonnette »). Il vivait alors au vert dans une habitation de neuf mètres carrés montée sur roues, bourrée d’idées ingénieuses, avec un toit à deux versants et un porche. Structure en bois clair, édredon blanc sur le lit en mezzanine : son design sobre conférait à son intérieur une rusticité élégante. Il avait même réussi à y caser une cheminée. En dix ans, entre son Iowa natal et la Californie, il a vécu dans trois tiny houses qu’il avait dessinées et construites lui-même. Après avoir cofondé en 2002 la Small House Society, il a lancé une entreprise de conception de maisons semblables à la sienne, dont les prix ne dépassent pas 30 000 dollars.

Dédramatiser les questions de logement et de propriété dans une Amérique que ses crédits immobiliers pourris étaient en train de mener à la catastrophe, promouvoir une vie plus simple, plus équilibrée et plus écologique : le concept avait tout pour séduire. M. Shafer expliquait que, à ses yeux, un espace aussi exigu représentait « le vrai luxe » : comme sa maison n’engloutissait pas une grande part de ses revenus et comme il ne perdait pas de temps à l’entretenir, il pouvait se concentrer sur les choses qu’il avait « vraiment envie de faire dans la vie » (1).

Les adeptes de la sobriété ne manquent pas d’arguments. M. Shafer souligne qu’entre 1950 et 2000, alors que la taille moyenne d’un foyer diminuait, la surface moyenne d’une habitation neuve aux Etats-Unis a plus que doublé : deux cent dix-huit mètres carrés, soit quatre fois la moyenne internationale (2). Lui-même a grandi dans une maison de trois cent soixante-dix mètres carrés qui représentait pour ses parents un signe de réussite sociale et dont certaines pièces, comme la salle à manger, n’étaient quasiment jamais utilisées. « Nous aimons nos maisons comme nous aimons nos portions alimentaires : énormes et peu chères », assène-t-il (3).

Dans de nombreux Etats américains, il existe une surface minimum légale pour les logements, ce qui oblige les propriétaires de maisonnettes à ruser : ils dotent leurs constructions de roues, même s’ils ne comptent pas les déplacer, de façon à ce qu’elles soient considérées comme des habitations temporaires et tombent sous le coup d’une réglementation différente. M. Shafer peste contre ces législations qui contribuent selon lui à maintenir un grand nombre de gens à la rue, faute de logements abordables. Certains de ses compatriotes ont d’ailleurs vu dans la tiny house une solution pour les sans-abri. Dans le Wisconsin, des volontaires du mouvement Occupy Madison, déclinaison locale d’Occupy Wall Street, ont achevé en novembre 2014 la construction de neuf petites maisons en bois recyclé financées grâce à des dons. Au Texas, en Californie, dans l’Oregon, des villages semblables, regroupant des unités d’habitation individuelles autour d’une cuisine et de sanitaires communs, proposent une version en dur des « villes de tentes » des sans-abri (4). Un artiste californien a même imaginé une cahute à 100 dollars, qui évoque irrésistiblement une niche à chien (5).

M. Shafer se définit comme un « claustrophile », et quiconque a eu une cabane dans son enfance comprendra ce qu’il veut dire. Sans conteste, il y a une magie des petits espaces. Ils correspondent à l’archétype du refuge, à l’abri primitif dont les frontières se rapprochent autant que possible de celles du corps. Dans une société qui ne cesse de nous inculquer de faux besoins, on éprouve une fierté enivrante à l’idée de pouvoir se contenter de peu. En outre, la petitesse de votre logement peut lui donner une dimension ludique, aventureuse.

Il faut toutefois se méfier de la fatigue, de l’usure, des frustrations qu’un petit espace fait naître à la longue. On peut en avoir assez de devoir rentrer la tête entre les épaules pour éviter de se cogner au plafond en allant se coucher sur sa mezzanine mansardée, ou de devoir garder les coudes collés au corps en prenant sa douche. Quand on vit à deux ou plus, on peut avoir parfois envie de fermer une porte et de s’isoler une heure — et pas aux toilettes, si possible. Et s’il s’agit de loger les familles sans abri, on pourra préférer la Maison des jours meilleurs, construction préfabriquée en bois de cinquante-sept mètres carrés que l’architecte français Jean Prouvé avait conçue à la demande de l’abbé Pierre en 1956, mais dont le prototype ne fut jamais homologué.

Il ne s’en faut pas de beaucoup que le carrosse du petit espace « malin » ne redevienne la citrouille du mal-logement. En janvier 2013, alors qu’il était encore maire de New York, M. Michael Bloomberg avait annoncé la construction d’un complexe de micro-appartements — entre vingt-trois et trente-quatre mètres carrés — destinés à accueillir des couples ou des familles monoparentales. Le projet, livrable à l’automne 2015, devait réduire autant que possible le sentiment d’oppression grâce à de grandes fenêtres, des balcons et des espaces communs : terrasse, buanderie, salle de gym… Des experts ont cependant alerté sur les illusions et les dangers d’une telle réponse au manque de logements abordables. L’un d’eux jugeait cette configuration « fantastique » pour des jeunes gens dans la vingtaine, mais conseillait de l’oublier pour toutes les autres catégories de population. Il invitait à imaginer le malaise des résidents lorsqu’ils n’auraient le choix, le soir, qu’entre leur unité d’habitation exiguë et des espaces communs envahis de voisins. De telles situations, prévenait-il, augmentaient les risques de violence domestique et d’addiction. De plus, les lits et tables escamotables impliquent des tâches quotidiennes supplémentaires qui, à la longue, deviennent pesantes ; les occupants négligent alors de les replier et se retrouvent dans un environnement encore plus incommode. Les enfants souffrent de troubles de la concentration, ce qui les pénalise dans leur scolarité. Enfin, le fait de ne pas pouvoir recevoir des amis nuit à la vie sociale et affective des locataires (6).

La capacité de ruser avec un système, de trouver des moyens de lui échapper, est bien sûr précieuse. Mais peut-on éternellement éviter de l’attaquer de front ? Jusqu’à quel point peut-on persévérer dans la suradaptation à une situation subie ? Lorsque M. Shafer déclare qu’une petite maison présente l’avantage de ne pas engloutir tous ses revenus, il s’incline devant le coût actuel du logement aux Etats-Unis. Il en fait une sorte de loi naturelle, alors qu’il s’agit d’une donnée conjoncturelle résultant d’un ensemble de décisions humaines, d’un rapport de forces politique. La crise américaine des subprime a été provoquée par l’irresponsabilité des banques, elle-même permise par la dérégulation de la finance et par la promotion de l’accès à la propriété. Les adeptes du living small occupent donc exactement la place qu’un ordre social inique leur assigne. Ils se contorsionnent pour rentrer dans le placard qu’on veut bien leur laisser et prétendent réaliser là leurs désirs les plus profonds.

« Le bonheur tangible d’une vie bien vécue, écrit M. Shafer dans son livre, vaut un millier de protestations véhémentes. » Plutôt que de « gaspiller son énergie à essayer activement de changer cette société consumériste », il conviendrait d’« enseigner par l’exemple ». Pourquoi pas ? Mais force est de constater que cela ne marche pas toujours. Cela n’a pas fonctionné, en tout cas, avec celle à qui il doit sa notoriété. Oprah Winfrey a certes été enthousiasmée par ses idées, mais pas au point de se convertir elle-même à sa définition du « vrai luxe ». Outre un manoir à 85 millions de dollars sur une immense propriété baptisée « The Promised Land », en Californie, l’impératrice de la télévision américaine possède un appartement à Chicago, un chalet dans le Colorado, deux résidences dans le New Jersey, une dans la baie de Miami, une en Géorgie, ainsi qu’une maison de vacances à Hawaï (où Mme Michelle Obama a fêté ses 50 ans en 2014) et une autre sur l’île d’Antigua, aux Antilles. Bien sûr, elle voyage de l’une à l’autre dans son jet privé. La part de richesse qui échappe aux classes moyennes et populaires ne s’évapore pas : elle est dépensée... par les riches. Combien faut-il de Jay Shafer pour compenser l’empreinte écologique d’une Oprah Winfrey ?

Si la démarche de M. Shafer a suscité beaucoup d’intérêt et de fantasmes, le nombre de ceux qui l’ont imité est resté modeste : il s’élevait en 2011 à quelques centaines pour l’ensemble des Etats-Unis (7). En 2014, l’« Oprah Winfrey Show » est retourné le voir pour sa séquence « Que sont-ils devenus ? ». Désormais marié et père de deux enfants, il a déménagé dans un « palais » de quarante-six mètres carrés. Installée au fond du jardin, son ancienne habitation de célibataire lui sert de bureau (8). Lucide, il déclare que la tiny house peut convenir lorsqu’on vit seul ou en couple, mais que les choses se compliquent avec une famille. Entre une roulotte de neuf mètres carrés et la boursouflure d’une maison américaine typique, il y a de la place pour des solutions intermédiaires…

Mona Chollet

Ce texte est tiré de Chez soi. Une odyssée de l’espace domestique, Zones, Paris, 2015.

 

(1) « Inside a 96-square-foot home », www.oprah.com, février 2007.

(2) Jay Shafer, The Small House Book, Tumbleweed Tiny House, Sonoma, 2009.

(3) Tiny. A Story About Living Small, film de Merete Mueller et Christopher Smith, Speak Thunder Films, 2013.

(4) Tim Murphy, « Home petite home », BuzzFeed.com, 16 janvier 2015.

(5) Linda Federico-O’Murchu, « Tiny houses : A big idea to end homelessness », NBCnews.com, 26 février 2014.

(6) Jacoba Urist, « The health risks of small apartments », TheAtlantic.com, 19 décembre 2013.

(7) Alec Wilkinson, « Let’s get small », The New Yorker, 25 juillet 2011.

(8) « Jay Shafer, the man with a tiny house, has had to expand — just a little », HuffingtonPost.com, 19 février 2014.

Voir aussi le courrier des lecteurs dans notre édition de juin 2015.

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